PROLOGUE: L'Arène
Tandis que la foule réclamait du sang, Thorec se surprit a contempler la gigantesque arène, ses colonnes et ses arches impréssionantes, ses gradins et ses statues. Loin en dessous de lui, sur le sable doré de l'arène deux hommes s'affrontaient pour le plus grand plaisir de la foule. Douzes milles personnes beuglaient en même temps et la cacophanie ressemblaient aux hurlements d'une bête monstrueuse.
Cette arène étaient une vrai merveille d'architecture: ses colonnes arboraient des statues d'ancien héros et de dieux, la moindre boiserie étaient ornée de bas relief... Les gradins des riches étaient ombragés par des draperies de soie, d'un vert maussade qui jurait avec les coussins Bleue azurs sur lequel étaient assis les nobles.
A sa droite, Thorec, pouvait tout juste entrapercevoir l'angle du balcon du roi ainsi que le dos de sa garde rapprochée. Leurs heaumes, pensa le nains, étaient tout particulièrement magnifiques, gaufrés d'or et surmontés d'un panache blanc en crins de jument. Telle est la beauté des couleurs simple, pensa t'il; le noir, le blanc et l'or juraient rarement avec les autres couleurs.
- "Est-ce qu'il est entrain de gagner?" S'enquit Floël. "Tu savais que Gulliman n'a jamais perdu? On dit même qu'il a tué plusieurs participants, dans une compétition a Brâm l'an dernier Bon sang, j'ai misé dix drag d'or sur Elynsky."
Thorec ôta gentiment les doigts, de l'ambassadeur, de sa manche et frotta la soi froissée d'un geste machinal. Il s'arrêta de contempler les merveilles architecturale pour se concentrer sur le combat qui avait lieu plus bas. Gulliman venait de décrocher un uppercut a elynsky, suivit d'un direct du droit, ce dernier reculait et du sang perlait a la commissure de ses levres ,
- "A combien avez vous jouez?" S'enquit Thorec. L'ambassadeur se passa la main sur son crane,frottants ses tempes grisonantes,
- "Six contre un. J'ai été pris de folie."
- "Mais non," répondit Thorec, "c'est le partiotisme qui vous a enflammé. Ecoutez, je sais que les ambassadeurs ne sont pas bien payés, alors si vous voulez, je vous rachette votre pari Donnez moi votre jeton."
- "Oh, je noserai pas... Je veux dire, il est en train de se faire massacrer."
- "Mais si, osez, après tout Elynsky est mon amis et j'aurais dus misé sur lui par loyauté."Thorec vit un éclaire de cupidité passer dand les pupilles de l'ambasadeur
- "Eh bien si tu insiste, le nain...."Les doights fins de l'ambassadeurs dénuerent rapidement le cordon qui refermait sa bourse et en sortirent un petit carré de papyrus aborant un cachet de cire et le montant de la mise. Thorec le prit et Floël. Attendit, la main tendue.
- "Evidement," expliqua Thorec, "je te la rachette cinq drag d'oraulieu de dix, vu que Elynsky a presque déjà perdu."
- "Oui bien sur," répondit Floël visiblement déçut.
- "Je vais aller visiter l'arène," annonça Thorec, "on ma dit que ses fondations avaient étées réalisées par des nains. Je veux voir sa. "
- "Tu ne semble pas beaucoup t'inquitéter pour ton amis," fit remarquer Floël.
- "Mon cher, très cher ambassadeur, Elynsky se bat parce que il adore ça. Généralement on s'inquiette davantage pour les malheureux qu'il affrontte. Je vous verrais ce soir, a la reception."
Incrédule Floël se passa la main dans les cheveux tandis qu'un tic nerveux agita son visage
Sortant des gradins Thorec se dirigea imediatement vers le Tripot de pari, et non vers les fondations comme il l'avait indiqué a l'ambassadeur quelques instants plus tôt.
- "Vous voulez misez?" Demanda le questeur au nain.
- "Non j'attend pour récupéré mes gains."
- "Vous avez misé sur Gulliman?"
- "Non sur le vainqueur, c'est une vieille habitude."
- "Il fera froid en enfer le jour ou le Landretien vaincra." Ricana le questeur.
- " Oh, mais dite moi, c'est moi ou la température vient de se réchaufer de quelques degrés?" Dit Thorec en lui montrant l'arène.
En effet Gulliman se fatigait et ses coups diminuaient fortement en force et en précision. Elynsky profita de cette baisse de niveau pour lancer une feinte a droite et tandis que Gulliman frappait dans le videil lui placa une succesion, puissante, de coups au ventre et au visage. Gulliman tenta de se dégager en reculant brusquement, mais sans lui laisser aucun répit Elynsky maintien la distance et lui décrocha un crochet dans l'estomac, l'étalant dans la poussiere de l'arène.
Tandis qu'un terrible ovation fesait trembler la tribune Thorec se retourna vers le questeur, lui tendit son pari et, le sourir aux levres, et demanda, narquois: veuillez préparer mes gains, soixantes drag d'or, je pensse, ainssi que ma mise de dix.